Auteur : Évangéliste de district A. Pembe
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La fraction du pain est l’un des quatre piliers de notre foi (Actes 2 : 42).

Dans l’Ancienne Alliance, le grain était cuit dans une poêle, brisé en morceaux et oint d’huile en offrande (Lévitique 2 : 5-6). Jésus-Christ est comparé à cette offrande ointe de pain à cause de ses souffrances et de son sacrifice. Son corps et son sang sont offerts pour le salut des êtres humains lors du sacrement de la sainte cène (Jean 6 : 48-51, 53-56).

Le pain est le symbole de la subsistance humaine en général (Genèse 3 : 19). La fraction du pain est l’une des diverses désignations pour le sacrement du corps et du sang du Christ, faisant référence au repas de la Pâque que Jésus-Christ a célébré lorsqu’il a institué la sainte cène (Matthieu 26 : 26 ; Actes 27 : 35). Les premiers chrétiens qualifiaient leur repas de communion de « fraction du pain » (Actes 2 : 42 ; 20 : 7).

Les effets de la fraction du pain (sainte cène) pour ceux qui participent dignement sont :

• La garantie d’une véritable communion de vie avec le Fils de Dieu qui partage sa nature avec les croyants.
• Partager le mérite acquis par Jésus-Christ par son sacrifice.
• Établir l’unité des croyants, vivants et morts, les uns avec les autres (1 Corinthiens 10 : 16-17).
• La sainte cène est aussi un moyen essentiel de préparer le jour du retour du Seigneur (Matthieu 26 : 29).

Qui peut participer à la sainte cène ?

• Tous ceux qui ont été baptisés, adoptés ou scellés dans l’Église néo-apostolique.
• La sainte cène en faveur des défunts est également célébrée dans l’Église néo-apostolique.
• Les membres d’autres dénominations qui sont baptisés d’eau au nom trinitaire sont invités en tant qu’invités.

Comme il n’a pas été possible de participer régulièrement à la sainte cène pendant cette pandémie, notre apôtre-patriarche nous assure que Dieu continue de veiller sur nous jusqu’à ce que nous puissions à nouveau célébrer la sainte cène ensemble.